Voici que je vais vous conter une histoire. Je ne parle pas d'une histoire à dormir debout. Non, je vous parle de l'histoire d'une rencontre. Elle n'a d'autre but que de divertir. Cependant, si certain fait rappelle à qui que ce soit un évènement lui étant arrivé, ce ne serait que pur coïncidence.
C'était à la fin du mois de mai, les jours s'allongeaient et, comme toutes les jeunes personnes, il aimait sortir. Quelques jours avant, lors d'un soirée, il avait rencontré cette fille qui lui avait beaucoup plu. Les discussions avaient été enflammées mais il avait préféré ne rien essayer de déplacer afin de lui donner l'image d'un homme respectueux. En d'autres termes, il s'était dégonflé.
Donc l'ami qui l'avait introduit auprès de cette jeune femme, venait de lui annoncer qu'une soirée avait lieu et qu'elle serait sûrement présente. Il avait donc accepté de s'y rendre. Ils arrivèrent donc vers 23h dans la maison où la fête était organisée. En arrivant, et après avoir fait le tour des personnes présentes, il se rendit compte qu'elle était absente. Mais puisqu'il était là, il n'avait pas l'intention de se morfondre dans un coin.
Nous avancerons le temps de quelques heures, en effet, les échanges d'usages sont d'une banalité... Une demi bouteille de whisky plus tard et quelques bières en plus donc, et alors que les esprits s'échauffaient, 2 jeux furent lancés. Le premier consistait à se passer une rose de bouche en bouche sans utiliser les mains, et le second ne variait que d'un détail car il s'agissait d'un glaçon à s'échanger. Il participa à ces enfantillages quelques minutes avant de se diriger vers la piste improvisée où un rock des années 60-70 passait. Il dansa avec une première cavalière, puis une seconde, puis une troisième.
Alors que son ami s'était éclipsé avec une demoiselle, que les différentes chambres étaient prises les unes après les autres, l'une de ses cavalières lui demanda s'il savait où il y avait une chambre de libre. Ils montèrent donc à l'étage et ils trouvèrent une chambre où elle put se coucher tandis que lui redescendait. A ce moment précis, je suis sûr que les lecteurs se demandent pourquoi il n'est pas resté. Il est évident que la fille voulait un peu plus qu'un lit. Mais comme il a été dit au début l'objet convoité n'était pas présent et se jeter dans les bras de la première venue n'est pas dans les habitudes de notre homme. A moins que ce n'était qu'une sorte de tactique qu'il utilisait. Nous ne le saurons jamais.
Enfin, alors qu'il ne restait plus que quelques petites heures avant l'aube, il décida enfin d'aller se coucher. Il regagna donc la chambre où dormait la cavalière. Elle avait été rejointe par une des autres cavalières. Le lit étant complètement occupé, il prit une couverture et opta pour le tapis malgré l'insistance de sa partenaire de première montée.
Elle se jeta sur lui d'ailleurs quelques heures plus tard et, ainsi commença leur histoire.
C'était à la fin du mois de mai, les jours s'allongeaient et, comme toutes les jeunes personnes, il aimait sortir. Quelques jours avant, lors d'un soirée, il avait rencontré cette fille qui lui avait beaucoup plu. Les discussions avaient été enflammées mais il avait préféré ne rien essayer de déplacer afin de lui donner l'image d'un homme respectueux. En d'autres termes, il s'était dégonflé.
Donc l'ami qui l'avait introduit auprès de cette jeune femme, venait de lui annoncer qu'une soirée avait lieu et qu'elle serait sûrement présente. Il avait donc accepté de s'y rendre. Ils arrivèrent donc vers 23h dans la maison où la fête était organisée. En arrivant, et après avoir fait le tour des personnes présentes, il se rendit compte qu'elle était absente. Mais puisqu'il était là, il n'avait pas l'intention de se morfondre dans un coin.
Nous avancerons le temps de quelques heures, en effet, les échanges d'usages sont d'une banalité... Une demi bouteille de whisky plus tard et quelques bières en plus donc, et alors que les esprits s'échauffaient, 2 jeux furent lancés. Le premier consistait à se passer une rose de bouche en bouche sans utiliser les mains, et le second ne variait que d'un détail car il s'agissait d'un glaçon à s'échanger. Il participa à ces enfantillages quelques minutes avant de se diriger vers la piste improvisée où un rock des années 60-70 passait. Il dansa avec une première cavalière, puis une seconde, puis une troisième.
Alors que son ami s'était éclipsé avec une demoiselle, que les différentes chambres étaient prises les unes après les autres, l'une de ses cavalières lui demanda s'il savait où il y avait une chambre de libre. Ils montèrent donc à l'étage et ils trouvèrent une chambre où elle put se coucher tandis que lui redescendait. A ce moment précis, je suis sûr que les lecteurs se demandent pourquoi il n'est pas resté. Il est évident que la fille voulait un peu plus qu'un lit. Mais comme il a été dit au début l'objet convoité n'était pas présent et se jeter dans les bras de la première venue n'est pas dans les habitudes de notre homme. A moins que ce n'était qu'une sorte de tactique qu'il utilisait. Nous ne le saurons jamais.
Enfin, alors qu'il ne restait plus que quelques petites heures avant l'aube, il décida enfin d'aller se coucher. Il regagna donc la chambre où dormait la cavalière. Elle avait été rejointe par une des autres cavalières. Le lit étant complètement occupé, il prit une couverture et opta pour le tapis malgré l'insistance de sa partenaire de première montée.
Elle se jeta sur lui d'ailleurs quelques heures plus tard et, ainsi commença leur histoire.
Ah ben c'est du propre...
RépondreSupprimer(Jolie histoire !)
très bien !
RépondreSupprimer(pourquoi ça ne m'arrive jamais à moi...)
@Ant. bien sûr que c'est propre
RépondreSupprimer@Gaël un jour cela t'arrivera :)
Cet homme n'a pas beaucoup de volonté...
RépondreSupprimerOn ne dit pas qu'il est dégonflé! On dit qu'il se détache de tout, qu'il erre.
Il n'y pas de faute d'orthographe. Bravo !
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