vendredi 15 mai 2009

Playing for change

Voici une philosophie d'association que j'adore. Bon je pense que tout le monde l'a vu mais au cas où...

mercredi 13 mai 2009

Faites entrer l'accusé

le juge : - Monsieur J... Veuillez vous avancer jusqu'à la barre

Monsieur J... avance jusqu'à la barre

le juge : - Au vue des événements durant le mois précédent, vous êtes accusé de tapage nocturne hier soir ! La parole est au voisin.

La vieille dame du 3e prend place

la vieille : - Je suis madame Chambois et depuis un mois je n'arrive pas à dormir à cause du bruit fait par cet espèce de *****CENSURED***** qui habite au second ! Jusqu'à maintenant tout allait bien mais je n'en peux plus ! choupette ne peux même plus dormir. Hier c'était la fois de trop !
le juge : - Qui est choupette ?
la vieille : - mon pékinois-cavalier king charles-basset
le juge : - donc Monsieur J... ici présent a refait du bruit hier ?
la vieille : - Oui j'en suis sûr, on entend que son appartement, avec la musique, avec les portes !
le juge : - Justement au sujet des ports nous avons là monsieur Frangipane qui voulait justement évoquer le sujet

Un homme à moustache chauve avance c'est le type qui habite au bout du couloir

le moine : - Oui j'ai même laissé un mot sur la porte ! vous ne savez pas à quel point c'est pénible ces claquements de portes ! Ces jeunes d'aujourd'hui, il ne respecte rien !
le juge : - En parlant de respect donnons donc la parole à Monsieur Pétochar

Une sorte d'armoir à glace avance et prend place c'est un voisin du 1e

Mac Tysen : - je suis descendu l'autre jour à 21h30 pour dire à ce *****CENSURED***** de baisser la musique. Vous savez ce qu'il m'a répondu ? Qu'on était en France, et qu'il avait le droit à 30 décibels jsqu'à 22h !
Le juge : - Pour le coup Monsieur J... a raison
Mac Tysen : - Et donc, hier je suis passé c'est sa colocataire qui a ouvert la porte et elle a claqué la porte avant d'appeler monsieur J...
Le juge : - Monsieur J... à vous la parole
Moi : - Je lui ai dit de bien me regarder, de bien voir que dans l'appart il n'y avait pas de lumière, ni de bruit, que j'étais en pyjama et donc que ce n'était pas moi.
Le juge : - Donc au vue des événements précèdent, vous avez été accusé injustement ?
Moi : - Oui
Le juge : - Ces voisins se sont excusés ?
Moi : - Non aucun
Le juge : - Je vous remercie Monsieur J... . Donc au vue des évènements et des preuves, le bruit ne venait pas de votre appartement hier soir. Vous êtes innocent. La séance est levée.



Et voilà, comment on devient la cible de toutes les accusations, désormais je suis désigné coupable dans l'immeuble.

j'avoue ils sont juste passés à l'appart les uns après les autres, mais je préfère la version procès, plus théatrale.

Le coup du 30 décibels par contre, la sortir celle-là j'ai adoré !

lundi 11 mai 2009

Je n'ai rien prévu pour l'occasion

Tout le monde se retrouve au moins une fois par an avec ce problème. Le discours. Et à chaque fois c'est le même problème, rien n'a été préparé. J'ai donc un discours planifié pour l'occasion qui passe à peu près pour tout. Exception pour le mariage et pour l'enterrement, dû à des situations un peu trop extrêmes et auxquelles je n'ai été confrontés que étant jeune. Donc sans avoir le besoin de faire un discours.

Voici pour les autres situations :

"Ah... Je suis pris de cours, je ne m'y attendais pas et je n'ai rien prévu pour l'occasion. Je vais donc, simplement vous dire merci pour avoir été / être (barrer la mention inutile) là, bien que certains soient manquants à l'appel (oui même pour un anniversaire, il y a toujours des absents). Vous êtes tous important à mes yeux et j'espère, que bien que les années continueront à passer, nous garderons contact. Je me souviens de (petite anecdote citant le maximum de personnes présentes). En tout cas merci encore"

Bon c'est très sommaire mais ça permet de tenir suffisamment longtemps pour ne pas être critiqué pour le temps et suffisamment court pour pouvoir l'apprendre à peu près par coeur.

Je le testerai donc d'ici quelques mois, quand mon stage se terminera.