samedi 21 février 2009

Changement de porte

C'est vrai que c'est un peu le premier truc qu'on voit, la bannière. Et franchement, je me suis lassé de la mienne donc la nouvelle est désormais en place (on voit au moins une partie de mes occupations du week-end). Je voulais juste avoir vos avis. Mieux ou moins bien ?

(pour info voici l'ancienne)

vendredi 20 février 2009

I love your blog

Deuxième chaîne à laquelle je participe en une semaine... Pour ce coup je ne meurs pas (la chance !). C'est mam'zelle fleur empoisonnée qui m'a tagué. Donc si j'ai bien compris je dois nommer7 blogs que j'aime... Dur, je viens d'en découvrir des nouveaux en rapport avec la pub. Je ne vais donc pas les compter dans cette chaîne.

Alors voyons voir :

D'abord je traîne souvent avec Nina et les autres. Je suis sûr de passer un bon moment quand je suis chez elle.

J'ai Nico, aussi. Son papa il est drôlement riche et il lui a acheté un iphone, même qu'il s'en vante tout le temps et puis il balance toujours des boulettes sur Tonnegrande.

Après, il y a mon senseï. Lui il a des très bonnes notes et puis il partage son 4h donc il est sympa et du coup je vais toujours le voir quand j'ai des problèmes.

Vient ensuite Dom, qui est plus grande mais qui parfois vient me dire bonjour.

Puis il y a l'Electroménagère. Je suis sûr qu'elle va dire que je m'acharne sur elle. C'est vrai quoi à la fin, en une semaine je l'ai tagué deux fois. Mais je l'aime bien. Et puis, si je partais elle me regretterai drôlement.

Après c'est celle qui vient du pôle nord, mais en ce moment elle a froid donc elle sort pas beaucoup de la classe.

Et pour terminer, les deux filles qui jouent à la corde à sauter : celle qui sort de l'ordinaire et la citadine.





largement inspiré du petit nicolas XD

trop meugnon

Et oui, c'est l'heure de la rubrique "trop meugnon". Toujours dans l'actualité. Mais cette fois c'est également une pub que j'ai vu chez les gosses qui regardent un peu trop la télé.

L'homme libre et la rue

Il était là, comme chaque jour. Assis sur cette grille où l'air chaud s'échappe et le préserve du rigoureux hiver. Il n'est ni gros, ni squelettique, bien que son corps ne soit pas celui d'un homme mangeant tous les jours à sa faim. Âgé d'au moins 35 ans, mais de moins de 50 ans, son visage est marqué par les soucis auxquels il a été confronté. Dans son survêtement gris, son manteau noir passé par les années, il se reposait. Vissé sur sa tête, un bonnet bleu marine d'où, quelques mèches de cheveux s'échappent. Derrière lui, un sac de sport noir délavé, contenant toutes ses affaires de rechanges dont il se sert comme oreiller pour dormir. Au fond de ce réduit, quelques cartons lui servant de coupe-vent lorsque les conditions météorologiques sont vraiment mauvaises. Ses chaussures, de simples basket, ne sont plus toutes neuves et possèdent quelques tâches de plâtres et de peintures. Un gobelet de café vide, rempli de mégots de cigarettes qu'il fume avec délectation, trône devant son abri. Lorsqu'il s'éloigne pour aller chercher ses cigarettes, ou bien pour aller à la boulangerie acheter de quoi manger, il laisse ses affaires sachant que personne ne viendrait voler ses cartons ou son sac abîmé par le temps. Il marche vite et d'un pas sûr lorsqu'il se déplace.

La bouche de métro à proximité lui aurait permis de pourvoir à ses besoins facilement mais, il refuse de faire la manche bien que vivant dans la rue. C'est sans doute cela qui le différencie des autres clochards, avec son déni pour l'alcool. Il ne dépend pas des autres, non, il travaille. Pas tous les jours, mais suffisamment souvent pour ne pas avoir à quémander d'argent pour son pain quotidien. Voilà plusieurs années qu'il vit ainsi ici. Prenant chaque jour la route de la Reine, il part. Je ne connaît pas son métier, mais je pense qu'il doit aider sur les chantiers. N'ayant pas de domicile, il doit lui être difficile d'obtenir un travail autrement qu'au noir. Il est donc rasé, bien que souvent doté d'une barbe de trois jours lui remplissant ainsi ses joues légèrement creusé, et est à peu près propre.

Un choix, son choix. Celui de vivre dans la rue.



jeudi 19 février 2009

page de pub



Cluedo naissance, un jeu Hasborn

"- A toi de jouer n°1 !
- 6 !Un, Deux, Trois, Quatre... Je rentre dans la cuisine. Je tente de découvrir qui est le père de Maisie ! C'est Andrew Smith, 14 ans, qui a couché avec Chantelle Steadman, 15 ans, en position du missionnaire !
- J'ai l'alibi ! Le lieu n'est pas bon !
- A ton tour n°2.
- 3. Un, Deux, Trois. A toi n°3.
- 5. Un, Deux... Cinq. Je rentre dans le salon. Je tente de découvrir qui est le père. C'est Nick Cornwell, 16 ans, qui a couché avec Chantelle Steadman en levrette !
- J'ai un alibi ! Ce n'est pas le bon personnage.
- Les gars, il ne reste plus que 5 tours avant que nous ayons tous perdu la partie. L'équipe d'analyse vient de sortir les résultats. Elle s'apprête à partir.
- Il est super dur ce jeu, n°2 !
- Oui, dire que c'est tiré d'un vrai fait divers..."


mercredi 18 février 2009

Le petit malade et l'homme d'affaires

Le métro était blindé ce matin. Etant monté en début de trajet, j'avais une place assise. Alors que je lisais mon livre un homme d'affaires arrive et s'installe en face de moi. Les cheveux noirs, les tempes grisonnantes et une coiffure impeccable figée par un peu de gel, il était absorbé dans ses pensées. Il portait un manteau noir, une écharpe mauve nouée autour du coup et avait une sacoche au bout de son bras gauche. Dans son bras droit, il portait un enfant qui devait avoir deux ans maximum. Absorbé par mon livre, je ne faisait pas plus attention à lui que ça.

J'entend un cri féminin d'un coup : "Ah ! Non !". Je relève la tête et je vois la voisine de l'homme d'affaires qui se lève les chaussures couvertes de vomi, l'homme avait le côté droit de son manteau, non plus noir mais jaune sombre. Son écharpe était dans le même état. Il restait pourtant stoïque alors que l'enfant continuait de dégorger sur lui. Quand il eût fini, il se mit à pleurer (l'enfant, pas l'homme). L'homme le rassurait tant bien que mal tandis qu'il cherchait son paquet de mouchoirs dans une des poches de son manteau afin d'essuyer les dégats occasionnés sur les sièges. Il essuya également le visage de l'enfant mais, ne prit pas une seule seconde pour lui.

Impressionné. Oui, c'est le mot. Impressionné par le calme de cette homme qui malgré la situation délicate a sû rester calme. A l'heure actuelle, son manteau doit-être au pressing et il doit animer une réunion entouré, de son ou ses supérieurs avec quelques petits éclats de ses déboires métroesques matinaux, seuls vestiges de cette matinée qui pour lui ne commençait pas sous les meilleurs augures.



mardi 17 février 2009

La véritable histoire romancée

Je n'en ai pas parler alors que c'était le 14 février. Rattrapons donc tout ça.

Il est arrivé tôt ce matin. Les routes étaient encore gelé. Il a d'ailleurs pesté contre tout ça quand il a dû sortir le grattoir. Puis, la voiture a démarré, il roulait à vive allure. La destination, il la connaissait. C'est celle que tout père redoute, celle que tout homme ne veut pas prendre. L'hôpital. Des blouses blanches, des discussions, une salle d'attente, une odeur que peu de personnes supportent. Un homme est anxieux, il ne peut qu'attendre. Il ne fume plus que des CDA (Clopes Des Autres), forcément, c'est plus dur. Pourtant, il est là. L'attente est longue. L'opération peut réussir ou rater mais son job est de rester, d'être inquiet. Il le remplit bien.

Un autre homme arrive il est au téléphone et est en panique. Il entre, il sort, parle avec de grands gestes. Le bon père ce rapproche. Depuis le temps qu'il attend, il est en train de craquer mais vu que c'est jour de marché, descendre chercher des clopes c'est tout simplement partir trop longtemps et, il s'en voudrait si ça arrivait. Donc notre père va vers cet homme. Cet homme qui enchaîne clope sur clope. Il lui en demande une, qui lui est accordé devant un hôpital, c'est le lieu où il y a le plus de mégots. C'est devant l'adversité qu'on est le plus lié et il le sait. Combien d'inconnus se sont rapprochés et ont tissé des liens après une catastrophe ? Combien en revanche se sont séparés et déchirés pour un héritage ?

Oui, l'attente est longue. Dire qu'il a pas dormi de la nuit et qu'il est là depuis 5 du mat'. Il est 7h30. Il balance un texto. Il feuillette les magazines plus qu'il ne les lit. Il est en stress. Le temps passe.
10h. Il tourne en rond. Il se dit que s'il était allé acheté des clopes tout à l'heure, il aurait rien raté tandis que maintenant, il n'a plus le temps.
11h. Pu**** ! C'est long !
12h30. ça y est c'est fait, il est de nouveau père, et moi j'ai un frère. Ce qui porte le compte à 3. Plus une soeur. Mais avec le jeu des mariages et des divorces, j'ai une famille nombreuses et en même temps non. Ce qui ne m'empêche pas d'aimer tout le monde.


Altercation entre véhicules franco-anglais

"- Tu l'as pas vu la priorité à droite ?! Regarde les rayures, ça va se payer !
- On est en Angleterre Monsieur, alors c'est vous qui êtes en tort !
- On va faire un constat ! On verra qui est en tort !
- Comment ça je suis en tort !? Viens un peu par là que je te montre qui est en tort !
- Ah ouais ? Attend un peu tu vas voir de quel bois je me chauffe ! Hé ! On fait demi tour, le foutu rosbeef veut faire le malin !
- Heu...capitaine ?
- Quoi ? Tu te prends pour qui !? J'ai donné un ordre alors exécution !
- Je veux simplement vous rappeler que nous sommes à bord d'un sous-marin.
- ..."

inspiré de ça ^^


lundi 16 février 2009

500 euro et 500 secondes par comm and come

Bon, voilà c'est parti pour cette chaîne (la première à laquelle je participe ; je remercie donc cultu avec un p'tit c)

1.Écrire un article relatant ce que vous feriez s’il vous restait 500 euros et 500 secondes à vivre. Vous avez carte blanche, que ce soit en 3 mots ou en 500 lignes, laissez libre court à votre imagination.
2. Relancer la chaîne en invitant 5 de vos amis à répondre à leur tour à la question.
3. Faire référence à cet article et à ces mini-règles afin que l’on puisse tracer tous les participants.
4. Intituler votre article “500 euros et 500 secondes par Votre Nom


Les rues sont désertes en cette froide nuit de février. La lune de sa pâle lumière allonge les ombres des bâtiments. Quelques animaux errants pourtant traînent dehors, se partageant allègrement les restes de cadavres de malheureux abandonnés dans la rue. Il n'y aura personne pour sortir et chasser ces bêtes afin, de pouvoir inhumer dignement l'un des proches, qu'une famille a lâchement abandonné de peur d'être à son tour atteinte de ce mal qui, simplement par son nom fait trembler le plus vaillants gaillards. La grande moria.

Quelque part dans cette ville, dans une masure à peine acheminée, allongé sur son lit, un jeune homme pâle, comme ses draps, toussant par intermittence du sang, tâchant ainsi les draps immaculés, a réuni autour de lui ses meilleurs amis. Ils sont 5. Pas un de plus, pas un de moins. Ses traits sont ceux d'un homme fatigué. Il sait que sont temps est compté. Ses amis autour de lui porte un masque à bec, pour ne pas être atteint par le mal. Sa femme est morte quelques jours avant et, il sait désormais qu'il n'aura point de descendance. Il tente tant bien que mal d'articuler quelque chose, sa bouche est sèche. Ses dernières paroles ne sont qu'un murmure.

"A chacun de vous, mes amis, mes frères, je donne 100 euro, je ne peux malheureusement donner plus que je ne possède. Je vous souhaite d'échapper à cette terrible maladie dont je suis à mon tour la victime. Non, ne pleurez pas car je ne regrette rien. Puissiez-vous être heureux et...". Ces dernières paroles sont inaudibles et incompréhensible, la fièvre le faisant délirer.

5 personnes sont touchés malgré elles au même moment : La Pingouine, l'Electroménagère, Homer, Nina et Mots d'Elle.



Bon ok c'est sombre mais en même temps on va mourrir, j'allais pas fair un truc joyeux. Me***, j'ai plus que 500 secondes à vivre !

Ok je rend le truc joyeux avec cette image.


La Saint Valentin étant passé, faisons le point sur cette fête.

Pour les célibataires c'est l'horreur, il y a des couples partout, des coeurs et du rouge dans toutes les boutiques, bref, tout vous rappelle que vous êtes seuls.

Du côté des couples c'est une fête commerciale, le chocolat (quasiment obligatoire) n'est pas du tout en promotion, il y aura le resto, ou le repas mijoté avec soin à faire, les fleurs à acheter, etc. En simple un mois après les fêtes, on va encore se retrouver avec un porte-monnaie vide.

Conclusion : célibataires et couples râlent de tout façon.

Pardon ? J'entends dans l'assistance que les couples râlent mais peuvent le fêter quand même. Et côté célibataire, abordons le sujet.

Au vu du nombre de sites de rencontres, du nombre de soirées, du nombre d'actions à leur égard, je crois qu'on arrive au stade où les plus à plaindre sont les couples plutôt qu'eux. Au final, le nombre de célibataires est même en train de croître (actuellement 18 millions). A force de lire la presse, on finit par retenir des trucs. Bon, c'est pas toujours les bonnes infos mais on retient ce qu'on peut (Ah bon ? Obama a été élu ? Il y a eu une grève énorme au mois de janvier ? C'est la crise ?)

dimanche 15 février 2009

Culture asiatique

Je ne sais si vous connaissez ce jeu venant des pays d'Asie. Ce jeu, qui malgré son simple aspect, un plateau et des pierres noires ou blanches, semble être le jeu le plus complexe auxquels je me suis adonné sur internet. Vu que la culture asiatique (cf la voie du samouraï) m'intéresse fortement, voici un petit résumé de ce jeu qui m'occupe.

Son principe ressemble à celui du jeu Risk, avoir le plus grand territoire, ensemble d'intersections vides, et est assez simple. Le plus difficile est d'y parvenir. Chaque joueur pose une nouvelle pierre sur une intersection vide du plateau, goban, à tour de rôle. Il est permis de passer son tour mais quand les deux joueurs passent consécutivement, la partie est terminée. Les pierres adjacentes de même couleur sont connectées et forment un groupe. Les intersections vides adjacentes à un groupe sont ses libertés. Si un joueur supprime la dernière liberté, il enlève, capture ou tue, la pierre ou le groupe encerclé. À la fin de la partie, on évalue le pointage de chaque joueur. Les prisonniers, pierres prises ou mortes, sont placés sur les intersections des territoires de l'adversaire. Puis, on compte un point par intersection libre. Le vainqueur est celui qui possède le plus de points.

Voici en gros le jeu. Etant débutant j'ai le droit à tout le vocabulaire qui est incompréhensible. On me sort atari (c'est pas la console de jeu ?), komi (de cuisine ?), jigo (d'agneau ?), etc. Avec le vocabulaire employé et le langage texto, c'est simple, je ne parle pas pendant la partie.

En tout cas pour ceux qui aiment les jeux de stratégies voici un jeu qui va vous séduire. Je vous le conseille vivement.