Vous vous souvenez du week-end de révision grandmèredien ? De ce week-end, une histoire m'est resté en mémoire que je m'en vais vous conter.
Elle avait 19 ans quand elle s'est retrouvée mariée à un homme. Un homme de son âge issue d'une famille relativement noble. Elle put finir ses études de droit, 3 ans puis, entreprendre un cursus de lettres. A 26 ans, elle est mère pour la première fois, d'une fille. Le deuxième enfant sera un garçon et arrive avant l'événement majeur de sa vie qui se passe à 34 ans.
Un matin, comme tous les autres, elle se réveille et prend conscience réellement qu'elle a toujours été protégée jusqu'à présent que ce soit, son mari ou avant, ses parents. Elle quitte tout du jour au lendemain, après une discussion avec son mari lui disant qu'il sera effondrée mais que si c'est ce qu'elle veut il la laissera partir. Assise dans un café à moitié en larmes, en se disant que c'est la plus grosse connerie de sa vie mais qu'elle devait la faire, elle regarde dans un journal et appelle la première offre d'emploi qui lui paraît intéressante. Il s'agit d'une agence immobilière. Elle passe donc un entretien et commence à travailler. Le premier soir, traînant un peu, sa nouvelle patronne lui demande pourquoi elle ne rentre pas et, notre héroïne lui raconte le pourquoi du comment. Touchée, sa chef l'invite chez elle pour dormir.
Arrivée dans l'appartement, elle se glisse dans la douche. Alors que l'eau ruissèle le long de son corps, la patronne rentre dans la douche et lui balance de but en blanc : "qu'est-ce que t'es belle !" Comprenant donc que cette femme n'est pas aussi gentille qu'elle le parait, elle lui explique que malgré la bonté accordée, elle ne couchera pas avec une femme, n'étant pas intéressée par la gent féminine. Le reste du séjour se passe sans accro.
Après une semaine, arrive le premier week-end et sa logeuse lui laisse l'appartement car elle a des projets. Elle profite de cette absence pour retourner dans son ancienne maison afin de récupérer quelques affaires. Après des heures de recherche, un retournement complet de l'appartement, une jupe blanche, suffisamment distinguée par rapport au reste de la garde robe pour que ce soit notable, reste introuvable.
Le lundi suivant, elle est donc au travail. Enfin, devant son bureau puisque sa directrice-logeuse n'est pas là. Arrivant avec presque 30 minutes de retard, notre demoiselle attaque enfin sa journée. Lors de la pause déjeuner, elle passe près de la voiture de sa logeuse et, en jetant un coup d'oeil par la vitre, elle voit sa jupe blanche à l'arrière de la voiture. Son mari (ndla : malgré la séparation, il n'y a jamais eu de divorce et les relations se sont toujours bien passées entre les 2) avait couché avec sa patronne tout le week-end... A partir de là, des 2 côtés, un jeu assez sympathique de coucherie a commencé..
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire